jeudi 6 août 2009

Amsterdam is a cesspool of corruption

Hahahaha....en réaction à une émission pas très "positive" sur Amsterdam, Elian Wils répond ça à O’Reilly de Fox news :



Je connais Elian mais la dernière fois qu' on s’est vus c'était en 2003, je crois. A l’époque il était encore étudiant et il produisait une émission intitulée "Big Shots", achetée par MTV après. Quand il venait dans les boites de nuit VIP en France, il se faisait passer pour une méga star avec son équipe de tournage ...mais c’était tout faux!

Et maintenant voilà cette vidéo que j’adore, et je ne suis pas le seul ! 250.000 "views" sur YouTube depuis le 27 juillet. ça va vraiment très vite sur Internet.

Cette vidéo nous rappelle une chose, qu'il faut toujours balayer devant sa propre porte !

Bravo Elian, t'en fais une sur Paris maintenant? Alleeeez!

Crime 100

Afin d'attirer de nouveaux lecteurs, le magazine hollandais REVU http://www.revu.nl/ a publié cette vidéo virale qui montre quelques mecs qui projettent une image d'un prisonnier qui s'échappe de prison ("Bijlmerbajes" à Amsterdam (Bajes veut dire taule))d'une façon très classique.

C'était à l'occasion de la publication du "Crime 100", une liste des 100 plus dangereux et influents mafieux et autres "bad guys".

C'est cool je trouve, 68.000 watt quand même...

Fabchannel

Mon site Internet préféré n’existe malheureusement plus, www.fabchannel.com

Ce n’est plus une nouvelle parce que le site a fermé depuis mars 2009, en grande partie à cause d’un manque de collaboration des labels ainsi que du manque d’argent.

C’est vraiment dommage parce que l’idée était très bonne et les équipes de Fabchannel enregistraient les concerts avec beaucoup de goût et de professionnalisme. Le son des concerts, surtout, était impeccable grâce aux investissements que Fabchannel a pu faire avec l’argent du ministère de la culture néerlandais.

Je vous invite à lire ce que Justin Kniest a écrit en « dernier mot » sur le site, je trouve que ça résume bien la situation actuelle dans l’industrie de disque et le manque de créativité des labels indépendants.